lundi 15 janvier 2018


 

Titre: Rencontre des élèves de 1ère L1 avec l’acteur Antoine REINARTZ du film « 120 battements minutes »
Le 1er Décembre 2017 au cinéthéâtre du Lamentin nous avons assisté avec deux classes de PCI et une classe de  1ère ST2S à la projection du film « 120 battements par minutes » de Robert Campillo, film sorti en 2017 et primé au festival de Cannes. Ce film nous raconte la vie, le combat des militants d’Act’Up - Paris au début des années 1990, insistant davantage sur les actions du groupe qui lutte contre l’indifférence générale. Ce film raconte surtout la vie d’un jeune homme gay atteint du sida et des militants luttant contre le sida. Ce film a reçu trois prix et douze nominations dont le Grand Prix au Festival de Cannes.




Lundi 4 Décembre, nous avons eu le plaisir de rencontrer un de ces acteurs Antoine REINARTZ qui jouait le rôle de Thibault dans le film, nous ne l’avons pas reconnu tout de suite avec ses cheveux longs. Il était accompagné de Mme Isabelle LAMAURY, présidente du Corevih Guadeloupe, Saint - Martin et Saint- Barthélémy, Infectiologue au Service des Maladies Infectieuses du CHU et de Jean-Claude MACED, vice-président du Corevih, coordinateur Aides Guadeloupe et Saint-Martin: une association qui aide les personnes atteintes du sida . Chacun d’entre- eux ont su écouter et répondre à nos questions personnelles sur le sida telles que: « comment éviter d'être contaminé? » et "quels sont les moyens pour s’en débarrasser?" ou encore des questions sur le film:
« Est-ce qu’il y a eu des malaises entre les acteurs quand il tournait les scènes « assez chaudes» et encore bien d’autres questions qui risquerait de vous en dire trop sur le film. Je vous laisse le soin de le regarder. Toutes nos questions ont été prises en compte et traitées sans tabous ni honte. Ils nous ont répondu de façon très claires et précises. Grâce à cette rencontre nous nous sommes informés du danger réel qu’est le sida. "Il ne faut pas rester seul et isolé, sans savoir faire face à cette maladie". Le débat étant intéressant, nous avons souhaité l'heure d'après poursuivre l'échange dans l'amphithéâtre avec une classe de ST2S.

Le conseil que je donnerai aujourd’hui à une jeune est : "renseignez vous, n’ayez pas peur de ceux qui en sont atteints, ils sont normaux, il ne faut pas les rejeter juste en raison de leur maladie, ils ont juste le réflexe d’être humain arrêtons les jugements juste parce que quelqu’un est malade. Cette personne a juste besoin d’être considéré comme normale et non pas comme un monstre ». Protégez vous, pensez à vous et au bien être de l’autre en ayant le réflexe de vous protéger. Il faut en parler et ne pas rester dans l’ignorance. Protégez vous pour votre avenir".


                        Article écrit par OOGHE Samantha, 1ère L1 Spécialité ARTS PLASTIQUES

"Fusion contre moi"







MONTOUT Aude TS1  ET ELIAC Steacy TL2 "Fusion contre moi" , vidéo, novembre 2017











 
"Fusion contre moi"


En spécialité arts plastiques, nous sommes libre de penser, de percevoir ce que l'on veut et de nous exprimer à travers une problématique propre à un entrée spécifique.
Chaque sujet à pour but de développer notre culture générale, notre sens artistique et celui de la critique.

Cela fait maintenant trois années, que nous apprenons à enrichir nos capacités d’analyses et nos réflexions personnelles.

Cependant il n'est pas toujours aisé de trouver l'inspiration. Pour cela nous devons parfois passer plusieurs séances à faire des recherches sans succès. Malgré cela nous arrivons toujours à trouver des idées pour réaliser un projet (sculpture, photographie, vidéos, installation, etc.).
Pour conclure nous pouvons dire que ces trois années ont été très bénéfiques pour nous et pour notre avenir car nous nous orientons vers des projets professionnels où des compétences artistiques sont requises.
Notre sujet était “passage” consistait à détourner le lieu de sa fonction initiale.
Nous avons décidé de travailler en binôme afin de mettre nos idées en commun.
Pour ce faire, nous avons réalisé une vidéo intitulée « Fusion contre moi » coupée en deux parties opposées, c’est à dire d’une part l’allégorie de l’enfermement et de l’autre celle de la liberté.
Afin de monter ce projet numérique, nous nous sommes aidées d’une vitre en salle d’art plastique qui était notre lieu principal.
Steacy avait pour but de montrer l’enfermement d’une âme après la mort et Aude devait montrer le passage entre la prison et la libération de cette âme. L’idée de passage et de transmission est démontrée  grâce au contact de nos deux mains, dont le reflet joue un rôle important dans la conception de notre passage.
 


Article écrit par MONTOUT Aude TS1  ET ELIAC Steacy TL2





 

 
 

 


 
 
 

 

dimanche 14 mai 2017

LAFFARGUES Julie conscience 2017




Le sujet donné était "Hors des murs". Il fallait créer une oeuvre en morceaux qui prenne en compte l'espace. J'ai donc décidé de réaliser une anamorphose s'étalant sur trois murs. L'oeuvre de Claes Oldenburg & Coosje van Bruggen intitulée "La bicyclette ensevelie" de  1990 est une oeuvre "en morceaux" qui se révèle au fur et à mesure que le spectateur parcourt l'espace du parc de la Villette et questionne la présentation.
Dans cette œuvre participative, j’ai voulu dénoncer une cause importante : Le Harcèlement scolaire. J'ai décidé de nommer mon travail "Conscience" car mon principal objectif a été d'induire une prise conscience à tous ceux qui vont voir ce travail : "je voulais montrer aux victimes qu'elles ne sont pas seuls, et aux harceleurs le mal qu'ils font, et aux témoins le mal qu'ils ignorent. Et bien-sûr je voulais montrer à tout ceux qui n'ont jamais côtoyé le harcèlement que c'est un phénomène très répandu et souvent ignoré".
Pour ce faire, j'ai alors décidé d'utiliser le symbole de la spirale. En effet, mon travail est une longue spirale rose.  La spirale évoque l’évolution d’une force, et plus précisément le caractère cyclique de l’évolution. Le harcèlement apparait alors comme un cycle infernal dont on n’arrive pas à se libérer. Plus on se rapproche de la grande spirale finale, plus les images sont dures et nombreuses. Ceci représente la déchéance de la victime prise au piège par sa situation. Le motif de la spirale peut aussi avoir été inspiré par la vision des remous. Les remous s'apparentent à des mouvements violents et nombreux, tout comme le phénomène que je dénonce.
La spirale symbolise le cheminement , la déambulation , dans les cercles concentriques de la pensée. Elle représente le développement et l'empirement du harcèlement scolaire au fil du temps. La spirale symbolise une progression ascensionnelle et en même temps un double mouvement d’évolution et d’involution, comme un mouvement d’aller et de retour vers un centre. Ce centre, sur ma fresque, représente le moment où la douleur est insoutenable, où le harcèlement devient paroxysme. Et donc, par ce mouvement d'aller et de retour, j'aimerai que les victimes comprennent qu'elles peuvent à la fois être prise au piège par ce phénomène de violence, mais aussi en sortir et s'en libérer". 

Dans la tradition de l’Inde, la spirale se rattache au cycle de la naissance, de la mort et de la renaissance. Le message associé à ce symbole que j'ai voulu faire passer est : Nous pouvons être pris au piège par le harcèlement scolaire, nous pouvons être anéanti mais nous pouvons s'en sortir, nous pouvons renaitre, redevenir heureux, se débarrasser de ce mal être.
De plus, la physique et l’astronomie nous apprennent aujourd’hui que la spirale est omniprésente  dans les structures de l'univers, de la double hélice de l’ADN au tourbillon des galaxies. A l'instar du harcèlement scolaire, la spirale est présente partout autour de nous, parfois même sans le savoir.
De très nombreuses images, témoignages, mots, phrases, articles de presses et autres matériaux viennent créer les détails de cette spirale. D'abord peu nombreuses et peu violentes, les éléments sont de plu
istant à s'approprier des images et des messages anonymes, reflétant le discours culturel dominant dans des compositions photographiques de grand format.

 J'ai également décider de jouer avec la saturation de l'espace au niveau de la spirale finale afin de traduire le paroxysme et la déchéance.
Cette œuvre joue également avec la distance : en effet, de loin, c’est la couleur rose qui domine le regard, donc le spectateur à l’impression qu’il s’agit de quelque chose de beau, de joyeux.
Cette oeuvre ne peut être visible dans son ensemble que du point de vue de la salle d'arts plastiques. 

 
Hors point de vue
Or, si le spectateur se rapproche de près de l’œuvre, sa première impression est bousculée par les images de violence, de tristesse, les témoignages poignants, les mots,… pour évoquer qu'une personne que l'on ne connait pas à l’air heureuse et bien dans sa peau or, si vous apprenez à la connaitre et  si vous vous rapprochez d'elle, vous pouvez alors découvrir une personne désespérée, déprimée, malheureuse. Ma réalisation plastique est engagée et existe selon un point de vue unique celui de la salle d'arts plastiques.

Mon travail se rapproche de celui de Barbara KRUEGER. À partir d’un travail d’appropriation dans le domaine de l’image comme dans celui du langage je montre une critique des lieux communs et stéréotypes. Utilisant des photos que j' agrandis, retaille et combine afin d’en souligner le caractère stéréotypée, je juxtapose déchire ou superpose des textes reprenant eux-mêmes des clichés du langage.
Untitled: Your Body Is a Battleground, 1989
C'est une artiste américaine qui porte un intérêt particulier aux questions politiques de son époque, comme le droit de la femme à disposer librement de son corps. Avec Untitled (Your Body is a Battleground), une affiche conçue pour la marche en faveur de la défense de l'avortement à Washington le 9 avril 1989, elle utilise le montage photographique afin de critiquer les standards appliqués à la beauté féminine par les médias et la publicité. Sérigraphie sur vinyle, 112 cm × 112 cm. .
Ainsi, en 1989, Untitled : Your Body Is a Battleground (Sans titre : ton corps est un champ de bataille) utilise l'image agrandie d'un visage féminin que l'artiste divise en deux moitiés verticales – l'une en positif, l'autre en négatif. Placée en travers de l'image, la phrase « Your body is a battleground » a pour fonction d'interroger la condition de la femme-objet, et soulève le problème du droit qui est le sien à disposer de son propre corps.
Cette œuvre épouse la démarche « déconstructiviste » d'un grand nombre d'artistes féministes des années 1980 et 1990. Chez Barbara Kruger, la manipulation des images, qu'elle recontextualise, sous-tend un questionnement sur la façon dont les instances du pouvoir – en particulier médiatique – présentent l'identité féminine. Du point de vue théorique, son travail rejoint celui des artistes conceptuels contemporains.
Son but est de bousculer les représentations véhiculées par les modèles culturels en vigueur en réalisant des compositions photographiques où texte et images sont mis en tension. Elle met au point un procédé cons










Elle réutilise l'image de la presse et la typographie. Ces images et ces mots proviennent de la télévision, des films, des chansons, des journaux et des affiches des magasins comportant une capacité puissante de communiquer, mais au lieu de garder la découpe comme Barbara Krueger je déchire comme pour supprimer, éclater et faire disparaitre".

   Lorsque la fresque est enfin terminée, je demande à tout les élèves, professeurs et autres encadrants du lycée de participer à cette œuvre qui dénonce le harcèlement scolaire. Mon travail devient alors participatif. Je les invite à prendre un feutre, un bout de papier, et à coller ou écrire leurs témoignages, leurs expériences n'importe où sur la fresque. Ainsi, ils peuvent eux aussi luttez contre les injustices à l'école, et peuvent m'aider à faire passer un message, à induire une prise de conscience. Ce que je voulais, c'était créer un moyen d’expression pour toutes les personnes victimes de harcèlement scolaire qui n'osent pas en parler, qui s'enferment et qui sont malheureux. Mon objectif éta de les aider à seentir mieux, et surtout de les pousser à en parler. Et ça à marcher...                                    




Projection de deux œuvres confrontées:
- Claes Oldenburg et Coosje Van Bruggen, La bicyclette ensevelie, Parc de la Villette, Paris, 1990.   Acier, aluminium, plastique renforcé par des fibres, peinture émail de polyuréthane, quatre éléments, dans une zone d'environ : 46 x 21,7 m (roue : 2,8 x 16,3 x 3,2 m, guidon et sonnette : 7,2 x 6,2 x 4,7 m, selle: 3,5 x 7,2 x 4,1 m, pédale: 5,0 x 6,1 x 2,1 m). Mise en espace et mise en scène. La question de la présentation.

Au-delà de la monumentalité de l'échelle de représentation proposée, cette sculpture a pour particularité de ne pas présenter la vision globale de l'objet, mais de fractionner celle-ci en un jeu de cache-cache qui contraint le spectateur à une reconstruction mentale de l'image. Cette œuvre permet donc d'enrichir la question de la représentation de la banalité dans un dispositif de présentation singulier.
- Paolo VERONESE, Fresques de la villa Barbaro,  vers 1560-1561.
Il y a un jeux qui s'instaure entre nous, spectateurs, et ce personnage ouvrant une porte vers un autre espace, et qui semble nous appeler et nous inviter à nous suivre).

1view1Au-delà d'un dialogue entre la peinture et l'architecture, les fresques de la villa Barbaro témoignent de l'ambition de Véronèse d'instaurer une relation entre l'observateur et l'œuvre. Les séquences architecturales (vestibules, escaliers, galeries, passages en enfilade, espaces de réception et de vie, etc.) et le programme iconographique (thèmes mythologiques et religieux riches d'évocations narratives et bucoliques) organisent un vaste espace scénique. Le spectateur est stimulé pour être un observateur, mais il est aussi observé par les protagonistes des représentations. Insertion de l'image dans l'architecture, jeux sur les points de vue et les proportions, surgissements de personnages et ouvertures sur des espaces fictifs, déplacements, expérience temporelle des dispositifs narratifs, sont autant de modalités qui visent à englober le spectateur dans l'œuvre.


  Sujet :  Hors des murs!  "Ma production est visiblement en morceaux et prend en compte l'espace".
Œuvre morcelée après réalisation ou au contraire constituée de morceaux. 

   Consigne : réaliser une oeuvre qui dialogue avec le lieu en créant un passage. Détourner le lieu de sa fonction initiale.
Dimensions et techniques libres.

   Contrainte: Le format et les techniques sont à votre libre choix mais doivent entrer en résonance avec l'espace de présentation dans lequel s'inscrit votre travail.




 Réflexion sur l'inscription des œuvres dans un espace architectural ou naturel, privé ou public, institutionnel ou non, pratique de l’in situ.
 Références liées au programme : La Présentation (assemblage, installation, installation in situ, matériaux pauvres, déambulation du spectateur) ;


Vous joindrez plusieurs prises de vue photographiques (ou des tirages sur imprimante couleur) qui présenteront votre réalisation dans l'espace que vous avez choisi.
Critères d'évaluation
- Qualités plastiques et graphiques de la réalisation
- Mise en relation de la réalisation avec un espace choisi par l'élève
- Capacité du document photographique à rendre compte de la relation entre la réalisation et le lieu
- Qualités de l'écrit d'accompagnement



Durée : 3 heures 30 classe + travail et argumentaire maison

·         30 minutes de croquis
·         2 heures et demi de sculpture et/ou installation
·         1 heure d’argumentation orale collective

Durée projet: 6 heures

Références envisageables :

- Felice VARINI, 360° rouge 2,1989, présentation de l'oeuvre dans la cour du centre de la Vieille Charité, Marseille, 1998. Voir catalogue de l'exposition « 50 espèces d'espaces ». Musée national d'Art moderne - Centre Georges Pompidou, Paris, 1998.
Travail in situ. Explication de l'anamorphose.
 Lorsqu’on découvre les oeuvres du Suisse Félice Varini, on se dit que c’est encore un peintre qui s’est éclaté à faire une oeuvre décalée que seuls les artistes comprennent.
 Mais trouvez le point de vue idéal et c’est alors un ensemble de formes géométriques qui se dévoilent devant vos yeux.
Description visuelle :  un observateur placé au centre de gravité du dispositif, appelé point de vue, et pivotant sur lui-même aperçoit une bande continue d'une même couleur, uniformément large, restée à une hauteur constante dans son champ de vision.

Hors point de vue:







-  Peter DOWNSBOROUGH, UN/TE-de-la, 1992, 33 boulevard de la Liberté, Rennes, commande de la ville.
Peinture sur piliers métalliques et bandes adhésives sur verre, métal peint.
 Peter Downsbrough, né en 1940 à New Brunswick (New Jersey), est un artiste contemporain. Il vit et travaille essentiellement à Bruxelles. Actif dès la fin des années 1960, son travail se situe dans la continuité du minimalisme.
Cet artiste américain a une formation d’architecte et depuis le milieu des années 1960 propose quelques repères qu’il place au sein de notre espace de vie. Il interroge notre espace qui nous est devenu banal et habituel en nous proposant une certaine attention et une interrogation sur un mot, un concept qu’il nous propose dans notre champ visuel.
On se trouve cerné, piégé par un processus visuel de "coupure optique" qui réorganise notre champ visuel. Arpenteur géomètre des lieux qui lui sont confiés, il s’implique et intervient dans chaque champ visuel en suggérant une nouvelle méthode de lisibilité.
Son intervention est  marquée d’une grande discrétion, il utilise la monochromie noire. pour nous proposer également des mots, souvent courts et succincts. "la" "de". Il s’agit fréquemment de prépositions :and, as, or, to, if, but, from, with, here, there; qui invitent à rechercher au-delà du champ visuel, une incitation à la réflexion et à la recherche d’un autre concept, une autre empreinte proposée dans un champ visuel différent.
Tous ces vocables disposés par Peter Downsbrough sur nos murs ne sont que des incitations à l’interrogation du spectateur sur sa place, son origine, sa destinée.


 - Pierre HUYGHE, Rue Longvic, 1995, affiche en situation, Dijon. 3 x 4 mètres.
Poster (1999), 67 x 86.5 cm.
 Exemple d'œuvres situées dans l'espace public. 
  • L'œuvre in-situ.
  • L'investissement d'un espace publicitaire par une œuvre d'art.




 - Ernest PIGNON-ERNEST, Naples, 1988-1995. Oeuvres consultables en ligne sur le site http://www.pignon-ernest.com



 - Krzysztof WODICZKO, projection du Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, 1988, Washington, D.C. The Border Projection (Projection de la frontière), 1988, San Diego (côté mexicain: Centro Cultural Tijuana; côté américain: San Diego Museum of Man).
Photographier leur travail : plan sur lequel ils indique au spectateur comment se positionner.
2 photos : deux points de vue

Entrée du programme en Terminale Option facultative : Aborder la question de le présentation. Mise en espace et mise en scène.
Aborder la question de la distance de l'image à son référent: le trompe - l'oeil.

Compétences visées:
Produire du sens en disposant une représentation dans un espace donné.
En créant un rapport au référent si soigneusement mise en scène que les sens du spectateur sont pris à défaut. Il peut croire qu'il est devant autre chose qu'une représentation, il peut constater que cette représentation est un dévoilement. et de cette révélation , un sens nouveau va apparaitre.
Compétences plasticiennes et techniques:
Etre capable d'associer et de maîtriser des moyens plastiques en faveur d'intentions - forme et sens.
Apprentissage:
- Expérimenter des techniques variées






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CETTE PRODUCTION A BENEFICIE DU SOUTIEN DU LYCEE DES DROITS DE L'HOMME
http://artsplastics.blogspot.com/
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  Titre: Rencontre des élèves de 1ère L1 avec l’acteur Antoine REINARTZ du film « 120 battements minutes » Le 1er Décembre 2017 au ...